Quand on regarde les transformations physiques sur Internet, on voit souvent la version finale : les abdos, les veines, la confiance en soi.
Mais rarement ce qu’il y a avant.
Alors aujourd’hui, je vais te dire la vérité : mes débuts ont été chaotiques.
Le point de départ
Je n’étais pas du tout le genre de personne « faite pour la muscu ».
J’étais fatigué, parfois démotivé, pas à l’aise dans mon corps.
Mais un jour, j’en ai eu marre de stagner.
Marre de me dire “un jour je m’y mettrai sérieusement”.
Ce jour-là, j’ai décidé que c’était maintenant ou jamais.
La première séance
Ma première séance de musculation, je m’en souviens comme si c’était hier.
J’étais perdu entre les machines, je faisais n’importe quoi, et chaque muscle brûlait comme jamais.
Mais au fond, quelque chose s’est réveillé.
Une voix dans ma tête disait :
“Souffre maintenant… ou souffre toute ta vie de ne pas avoir essayé.”
C’est là que j’ai compris que la musculation, ce n’était pas juste un sport.
C’était une école mentale.
Le vrai combat : dans la tête
La douleur physique passe.
Mais le plus dur, c’est de continuer quand tu n’as pas envie.
Quand personne ne te regarde.
Quand les résultats tardent.
C’est là que tu gagnes.
C’est là que tu te forges.
Chaque répétition devient une bataille contre toi-même.
Et à chaque victoire, même minime, tu redeviens un peu plus fort.
Ce que j’ai appris dès les premières semaines
- La discipline bat la motivation.
- Les résultats n’arrivent pas vite, mais ils arrivent toujours.
- La douleur, c’est un message : ton corps s’adapte.
- L’ego n’a pas sa place à la salle — seul le progrès compte.
Conclusion
Je ne suis pas né motivé.
Je ne suis pas né fort.
Mais j’ai fait un choix.
Et ce choix, c’est de devenir chaque jour une meilleure version de moi-même.
Ce blog, c’est le témoin de ce chemin.
Pas une vitrine de perfection, mais un journal de progression.